描述 |
English: Jeanne d'Arc at the Siege of Orléans by Jules Eugène Lenepveu, painted 1886–1890. The painting is a highly romanticized representation. Jeanne did not wear plate mail; according to the testimony at her trial [1]:
- Jeanne put off and entirely abandoned woman's clothes; with her hair cropped short and round like a young fop's, she wore shirt, breeches, doublet, with hose joined together and fastened to the said doublet by 20 points, long leggings laced on the outside, a short mantle reaching to the knees, or thereabouts, a close-cut cap, tightfitting boots and buskins, long spurs, sword, dagger, breastplate, lance and other arms in the style of a man-at-arms, with which she performed actions of war and affirmed that she was fulfilling the commands of God as they had been revealed to her.
The banner matches the description given at her trial:
- Asked whether, when she went to Orléans, she had a standard or banner and what color it was, she answered she had a banner, with a field sown with lilies; the world was depicted on it, and two angels, one at each side; it was white, of white linen or boucassin, and on it were written, she thought, these names, Jhesus Maria; and it was fringed with silk.
Français : Jeanne d'Arc au Siège d'Orléans par Jules Eugène Lenepveu, peint vers 1886-1890. La peinture est une représentation fortement idéalisée. Jeanne n'a pas porté de cotte de mailles plates selon le témoignage à son procès [2] :
- Jeanne a entièrement abandonné les vêtements de la femme ; avec ses cheveux coupés courts au bol comme un jeune gandin, elle a porté la chemise, des haut-de-chausses, le doublet, avec la culotte, joints ensemble et attachés au doublet mentionné par 20 points, le long caleçon long lacé sur l'extérieur, une cape court longs éperons, l'épée, le poignard, un pectoral, la lance et d'autres armes dans le style d'un homme d'armes, avec lesquelles elle a exécuté les actions de guerre et a affirmé qu'elle accomplissait les commandes de Dieu comme ils lui avaient été révélés.
La bannière correspond à la description donnée à son procès :
- Demandé si, quand elle est allée à Orléans, elle avait un étendard ou une bannière et de quel couleur il était, elle a répondu qu'elle avait une bannière, avec un champ semé avec des lis ; le monde y a été dépeint et deux anges, un à chaque côté ; c'était blanc, de lin blanc ou boucassin et sur cela ont été écrit, elle a pensé, ces noms, Jhesus Maria ; et il a été bordé de soie.
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